Maladies, accidents, grossesse, troubles physiques et psychiques, harcèlement, épuisement professionnel, burn-out…L’environnement professionnel n’est pas sans conséquence.
Améliorer la prévention, dispenser des conseils avisés et accompagner les personnes en difficulté fait partie de notre rôle.
FAQ : l’incapacité de travail
- Accidents de travail
- Grossesse et travail
- Maladies professionnelles
- Risques psychosociaux
- Troubles musculo-squelettiques (TMS)
Est considéré comme un accident de travail, tout accident dont un travailleur est victime pendant et par le fait de l’exécution du contrat de travail, et qui est la cause d’une lésion.
Est également vu comme un accident de travail, l’accident qui survient sur le chemin du et vers le travail (= le trajet normal du et vers le lieu de travail).
Un accident de travail suppose :
- Un événement soudain.
- Une ou plusieurs causes extérieure(s).
- L’existence d’une lésion.
Il ne doit pas nécessairement résulter une incapacité au travail ; il doit y avoir au moins des coûts médicaux.
Exception : un accident causant un dommage à des prothèses ou des appareils orthopédiques est également considéré comme un accident de travail sans qu’il doive être question de lésion.
- Un lien de cause à effet entre l’accident et la lésion.
- L’accident doit avoir eu lieu pendant l’exécution du contrat de travail.
- L’accident doit avoir eu lieu par le fait de l’exécution du contrat de travail.
Toutes les maladies ayant un lien avec le travail ne sont pas nécessairement des maladies professionnelles au sens strict. Les maladies professionnelles sont des maladies causées, de façon déterminante et directe, par l’exercice d’une activité professionnelle ou en lien direct avec les conditions de travail. Il n’est donc normalement pas possible de développer ce type de maladie en dehors de l’environnement de travail. Citons, par exemple, le développement d’une allergie cutanée aux produits de coloration dans le secteur de la coiffure, développement d’un saturnisme (intoxication au plomb) chez un travailleur de fonderie, surdité due au bruit chez un travailleur dans une usine d’embouteillage…
A côté de ces maladies dites « professionnelles », d’autres sont considérées comme « à caractère professionnel » parce qu’elles peuvent être causées en partie ou aggravées par le travail. Il s’agit, en fait, d’affections dont l’origine est multifactorielle. C’est le cas de la lombalgie, de la dépression ou encore de l’épuisement professionnel (ou burnout).
Seules les maladies strictement professionnelles font l’objet d’une éventuelle indemnisation par l’Agence Fédérale des Risques Professionnels (FEDRIS) pour les patient(e)s travaillant dans le secteur privé et occupés dans une administration locale ou provinciale. Pour les patient(e)s travaillant dans le secteur public, c’est le MEDEX sui est compétent.
A partir du moment où la patiente est enceinte, vous devez lui conseiller d’avertir (si ce n’est pas déjà fait), par voie orale et écrite, son employeur de son état et le plus tôt est, en principe, le mieux, car les risques tératogènes sont maximaux durant le premier trimestre de la grossesse. En effet, réaliser cette démarche entraîne un certain nombre de mécanismes de protection légaux : par exemple, protection contre le licenciement, interdiction des heures supplémentaires et prise de rendez-vous auprès du médecin du travail.
Cependant, si les conditions de travail décrites par la patiente vous paraissent comporter un risque pour elle ou pour l’enfant à naître, vous pouvez informer la patiente de son droit à bénéficier d’une évaluation de santé chez le médecin du travail dans le cadre de la protection de la maternité. Dans ce cas, l’employeur a l’obligation de prendre contact avec son service de médecine du travail auquel il est affilié afin d’organiser, pour votre patiente enceinte, une évaluation de santé dans le cadre de la protection de la maternité.
La maladie professionnelle est à distinguer de l’accident de travail. En effet, est considéré comme tel tout accident dont un travailleur est victime pendant et par le fait de l’exécution du contrat de travail, et qui est la cause d’une lésion. Est également vu comme un accident de travail, l’accident qui survient sur le chemin du et vers le travail (= le trajet normal du et vers le lieu de travail).
Un accident du travail suppose donc:
- Un événement soudain ;
- Une ou plusieurs causes extérieure(s) ;
- L’existence d’une lésion;
Il ne doit pas nécessairement résulter une incapacité au travail; il doit y avoir au moins des coûts médicaux.
Exception: un accident causant un dommage à des prothèses ou des appareils orthopédiques est également considéré comme un accident de travail sans qu’il doive être question de lésion.
Un lien de cause à effet entre l’accident et la lésion ;
- L’accident doit avoir eu lieu pendant l’exécution du contrat de travail.
- L’accident doit avoir eu lieu par le fait de l’exécution du contrat de travail.
La reconnaissance du caractère professionnel d’une maladie appartient au médecin examinateur de l’Agence Fédérale des Risques Professionnels (FEDRIS) pour les patient(e)s travaillant dans le secteur privé et occupés dans une administration communale ou provinciale. Pour les patient(e)s travaillant dans le secteur public, c’est le MEDEX qui est compétent. La reconnaissance d’un accident en tant qu’accident de travail appartient, quant à elle, au médecin de l’assurance-loi de l’employeur.
Dans le cadre de la protection de la maternité, le médecin du travail évaluera les risques professionnels du poste de travail occupé par votre patiente enceinte. Si celle-ci révèle une exposition à des agents ou à des conditions de travail qui représentent un risque, pour elle ou pour l’enfant à naître, le médecin du travail se concertera, avec l’employeur, afin d’envisager :
- Soit, un aménagement temporaire des conditions de travail ou du temps de travail ;
- Soit, une affectation temporaire à un autre poste de travail qui soit compatible avec l’état de santé de la patiente.
S’il n’est pas techniquement possible, pour l’employeur, de maintenir votre patiente au travail sans risque pour la grossesse et le fœtus, le médecin du travail proposera un écartement du milieu du travail jusqu’à la date prévue de l’accouchement. Ce sera, par exemple, le cas si votre patient(e) travaille dans une institution de soins et qu’elle n’est pas immunisée pour l’hépatite B (et ce, malgré un schéma vaccinal complet). Elle bénéficiera, alors, d’une allocation prévue dans le cadre de l’assurance maladie-invalidité (INAMI) équivalente à 78,237 % du salaire brut plafonné. Elle devra introduire un formulaire à cette fin auprès de sa mutualité. Celui-ci lui sera fourni, la plupart du temps, par le médecin du travail qu’elle rencontrera lors de l’évaluation de santé organisée dans le cadre de la protection de la maternité.
Pour ce qui est de la manutention de charges lourdes, un écartement prophylactique sera envisagé pour le dernier trimestre de la grossesse, et ce pour autant que l’employeur ne puisse affecter la patiente à un autre poste ne comportant pas de port de charges lourdes.
La réponse à cette question dépend de la situation de votre patient(e) :
- Si votre patient(e) travaille dans le secteur privé, son employeur a l’obligation de signaler tout accident dans les 8 jours calendrier. Il ne lui incombe pas d’évaluer s’il s’agit, ou non, d’un accident de travail. C’est une tâche qui incombe à l’entreprise d’assurance des accidents du travail. Si votre patient(e) pense que son employeur ne respecte pas cette obligation légale, il peut signaler, lui(elle)-même, l’accident ou demander, à cet effet, l’aide d’une personne de confiance ou de son syndicat ;
- Si votre patient(e) travaille dans le secteur public, c’est l’employeur qui assure le travailleur contre le risque d’accident du travail. L’employeur décide si l’accident est, ou non, reconnu comme un accident de travail. Il assume, en outre, la responsabilité finale pour tous les aspects de la réglementation de l’accident du travail ;
- Si votre patient(e) est indépendant, travailleur de la SNCB ou militaire, une réglementation spécifique s’applique en matière d’accidents du travail. Dès lors, l’Agence Fédérale des Risques Professionnels (FEDRIS) n’est pas compétent. Il est préférable de prendre contact avec l’employeur de votre patient(e).
Attention: pour le personnel de maison, il existe une nouvelle réglementation depuis 2014 ! Plus d’informations à ce sujet sur le site de Fedris dans la rubrique Publications > Dépliants > Personnel de maison : qu’est-ce qui change et pour qui ?
OUI. Tout médecin peut introduire une demande d’indemnisation de maladie professionnelle.
Si votre patient(e) travaille dans le secteur privé ou dans une administration locale ou provinciale, imprimez le formulaire 501 et le formulaire 503. Faites complétez le formulaire 501 par votre patient(e) et remplissez le formulaire 503. Joignez-y les preuves médicales demandées et envoyez tous les documents à l’Agence Fédérale des Risques Professionnels (FEDRIS).
Si votre patient(e) travaille dans le secteur public, imprimez le formulaire de déclaration de maladie professionnelle (MP1) et le formulaire médical (MP2). Faites compléter le formulaire de déclaration de maladie professionnelle (MP1) par votre patient(e) et remplissez le formulaire médical (MP2). Joignez-y les preuves médicales demandées et envoyez tous les documents au MEDEX.
Une fois que FEDRIS ou le MEDEX disposera des formulaires et des documents médicaux, votre patient(e) et vous ne devez plus rien faire, à moins que FEDRIS ou le MEDEX ne vous demande des documents complémentaires ou vous convoque à un examen médical.
Si vous vivez en Belgique mais que vous estimez que votre patient(e) a une maladie professionnelle qui résulte d’un risque professionnel encouru au service d’un employeur étranger, demandez-lui de contacter alors l’instance compétente en matière d’octroi d’indemnités d’incapacité de travail dans ce pays. Ce n’est qu’à la demande de cette instance que l’Agence Fédérale pour les Risques Professionnels (FEDRIS) peut réaliser un examen.
Votre patient(e) doit prendre contact, au plus vite, avec l’Agence Fédérale pour les Risques Professionnels (FEDRIS) (inspect@fedris.be ou 02/272.22.40) ou avec son organisation syndicale.
Votre patient(e) peut, ensuite, déclarer lui-même l’accident auprès de l’entreprise d’assurance de l’employeur.
Si votre patient(e) ne connaît pas l’entreprise d’assurance auprès de laquelle est assuré son employeur, il peut le demander directement à FEDRIS au moyen du formulaire « Chez qui l’employeur est-il assuré contre les accidents de travail ? ».
A côté de cela, votre patiente enceinte peut développer des symptômes en lien avec sa grossesse (fatigue, maux de dos, nausées…). Ces plaintes peuvent vous amener, le cas échéant, à mettre la patiente en incapacité de travail. Le premier mois (ou les 14 premiers jours pour les ouvrières) sera payé par l’employeur (salaire garanti), la période restante sera payée par la mutuelle, à raison de 60 % du salaire brut plafonné.
Un accident peut être signalé jusqu’à 3 ans après les faits. Mais, plus le délai entre l’accident et son signalement est long, plus il est difficile de prouver qu’il s’agissait bien d’un accident du travail.
Près de la moitié des accidents du travail sont réglés sans avoir provoqué la moindre incapacité de travail. Dans ce cas, vous êtes uniquement remboursé de vos éventuels frais médicaux et frais de déplacement, du moins si l’entreprise d’assurances a reconnu l’accident.
À compter de la date de votre accident, un délai de révision de 3 ans prend cours. Pendant ce délai, votre incapacité de travail peut être revue si votre état de santé venait à s’aggraver des suites de votre accident du travail.
En cas d’aggravation, votre patient(e) doit en informer la société d’assurance qui a pris l’accident en charge. Si nécessaire, vous remettez au patient une attestation d’incapacité de travail en confirmation de son dossier.
FAQ : reprise / retour au travail
Si vous envisagez le retour au travail d’un(e) de vos patient(e)s, deux voies s’offrent à vous :
- Une voie informelle:
Elle est composée de la séquence suivante : visite de pré-reprise, examen de reprise et consultation spontanée. Pour les détails de chaque élément de cette séquence, reportez-vous aux questions ci-dessous. Le principal avantage de cette voie est qu’elle est informelle et, donc, facile à mettre en œuvre et souple puisque pas de contrainte de délai ni d’autre formalisme (par exemple, envoi de recommandé).
- Une voie formelle:
Elle est composée du trajet de réintégration et de la procédure spécifique pour force majeure médicale. Pour les détails de chaque élément, reportez-vous aux questions ci-dessous. Comme son nom l’indique, elle est plus formelle et offre, donc, moins de souplesse que la voie informelle. Ainsi, il y a des délais à respecter et la communication entre les parties se passe, systématiquement, par la voie recommandée.
Les acteurs de la santé et du travail
Accompagner votre patient(e) dans son retour au travail par différentes actions :
- Soutenir votre patient(e) dans les démarches pour retourner travailler chez son employeur en expliquant, notamment, le rôle du médecin du travail ;
- Informer sur les activités qui peuvent être autorisées pendant une incapacité de travail (bénévolat, temps partiel, travail adapté, formation, …) ;
- Diriger votre patient(e) vers les partenaires utiles à sa réinsertion sur le marché du travail et/ou à sa réinsertion professionnelle.
Il/Elle veillera à ce que tout se déroule le mieux possible en coordonnant les actions de chaque intervenant du retour au travail (médecin-conseil, médecin du travail, médecin généraliste, partenaires de l’emploi, …) et en favorisant une bonne communication entre tous.
Lire notre fiche pratique pour en savoir plus au sujet du coordinateur retour au travail
Votre patient(e) peut directement prendre contact avec lui dès qu’il(elle) se sent prêt(e) à reprendre, même progressivement ou partiellement, le chemin du travail ou pour préparer le retour à l’emploi pendant une période d’incapacité de travail.
Il/Elle travaille au sein de la mutuelle à laquelle votre patient(e) est affilié(e). C’est, donc, via son agence habituelle, son site internet ou le médecin-conseil que votre patient(e) obtiendra ses coordonnées.
Il est possible, également, que le coordinateur invite votre patient(e) à un entretien suite à la demande du médecin-conseil. Pratiquement, votre patient(e) devra se présenter à ce rendez-vous mais sans obligation d’accepter l’accompagnement proposé ensuite.
Vous pouvez retrouver les coordonnées du médecin du travail en vous rendant sur le site www.masante.belgique.be/#/, onglet « Travail et Santé », rubrique « Qui est mon médecin du travail ».
Cette information est accessible avec le code PIN de la carte d’identité du(de la) patient(e) ou avec Itsme.
Lire notre fiche pratique à ce sujet.
Il est important de noter que le médecin-conseil de la mutuelle est entouré d’une équipe multidisciplinaire paramédicale qui formule des avis mais ne peut pas prendre de décision négative sur l’incapacité. La reconnaissance de l’incapacité de travail ou la décision de fin d’incapacité est une compétence exclusive du médecin-conseil.
NON. La réglementation est très claire en la matière : « en aucun cas, le médecin du travail ne peut vérifier le bien-fondé des absences des travailleurs pour raisons de santé ».
Le médecin du travail peut, toutefois, vous consulter pour s’informer des circonstances susceptibles d’être à l’origine de l’absence et de justifier l’évolution de l’état de santé de votre patient(e) (avec, pour objectif, d’apprécier l’efficacité de son programme de prévention, de dépister une maladie professionnelle éventuelle).
Lorsque la santé de votre patient(e) se dégrade et qu’il présente des absences répétées, un échange d’informations entre vous et le médecin du travail peut également avoir un grand intérêt pour éviter à votre patient(e) de perdre son emploi. En cas d’absence de longue durée, une collaboration avec le médecin du travail peut aussi maximiser les chances d’un retour au travail réussi.
Attention à ne pas confondre le médecin du travail, le médecin-conseil de la mutualité et le médecin-contrôle.
Le médecin du travail est un médecin spécialisé en « santé au travail », soit la relation entre travail et santé. Il veille à garantir la compatibilité entre les exigences (physiques et mentales) du poste de travail et les capacités (restantes) de travail du patient.
Nous recommandons un rendez-vous dans les situations suivantes :
- Si votre patient(e) mentionne des problèmes associés au travail ou attribués à celui-ci ;
- Lorsque votre patient(e) présente des problèmes médicaux susceptibles d’avoir une influence sur son fonctionnement au travail, sur sa sécurité personnelle ou celle d’autrui, (p. ex. épilepsie, diabète…) ;
- En cas de grossesse ou d’allaitement ;
- En cas de prise de médicaments qui peuvent avoir une influence sur les activités professionnelles (par exemple, conduite de véhicule, d’un chariot élévateur ou de machines ;
- Problèmes d’alcool, consommation de drogues ;
- Incapacité de travail provoquée par le travail ou pouvant être solutionnée par l’adaptation des conditions de travail ;
- Troubles relatifs aux risques psychosociaux (stress, burnout, harcèlement, violence au travail, comportement inapproprié au travail) ;
- En cas de suspicion / signalement d’une maladie professionnelle ;
- En cas de problème de compatibilité entre travail et santé ;
- Si la sécurité de votre patient(e) au travail est compromise ;
- Tous les problèmes qui ont trait à la santé et au travail, étant donné que le médecin du travail est le spécialiste en la matière.
Sachez que votre patient(e) peut introduire, lui(elle)-même, une demande de rendez-vous auprès du médecin du travail s’il rencontre des problèmes de santé liés au travail. Une telle « consultation spontanée » peut même avoir lieu sans que l’employeur n’en soit informé, si votre patient le préfère. Il suffira que votre patient(e) l’indique immédiatement lors de la prise du rendez-vous ou qu’il(elle) le mentionne au médecin du travail lors de la consultation.
- NON. Le diagnostic que vous communiquez au médecin du travail ne peut être transmis par ce dernier à l’employeur. Le médecin du travail est (tout comme le médecin généraliste) strictement tenu au secret professionnel. Ce point est stipulé dans le Code du Bien-Etre. L’employeur n’est, donc, pas informé du diagnostic du travailleur par le médecin du travail. Cependant, certains travailleurs décident, eux-mêmes, de partager leur diagnostic et leurs antécédents médicaux avec leurs collègues et responsables.
- OUI. Le médecin du travail discute avec l’employeur des restrictions éventuelles qui découlent du diagnostic ou du besoin éventuel d’adaptations de l’horaire de travail, du poste de travail, des tâches effectuées, etc. … Et ce, uniquement, afin de maintenir ou de restaurer un équilibre entre les exigences du poste de travail occupé et les capacités (restantes) de travail de votre patient(e).
Nos fiches pratiques
J’INFORME
Prévention
Diagnostic
Information des médecins traitants en matière de médecine du travail (sept 2015)
Fiches indicatives « durée de l’incapacité de travail » du SPF Santé Publique :
Traitement
Se référer à la cellule spécifique « Santé et bien-être au travail »
Publications
Une question ?
Contactez notre
expert SSMG
J’ACCOMPAGNE
Autonomisation
Brochures et fiches pratiques:
Information des patients :
Incapacité et reprise du travail : qui sont les médecins impliqués ? (vidéo pour salle d’attente)
Je suis malade, je ne peux pas travailler. A quels médecins puis-je m’adresser ? (affiche A3 pour salle d’attente)
Sur le site MonGénéraliste.be :
JE REFERE
Cellule spécifique « Santé & bien-être au travail »
SPF Emploi, Travail et Concertation sociale :
Direction générale Contrôle du bien-être au travail
Direction générale Humanisation du travail
INAMI:
- incapacité de travail
- réinsertion socio-professionnelle
- service des indemnités
- conseil médical de l’invalidité
SPF Sécurité sociale :
Sites conseillés