21 janvier 2017
La SSMG s’inquiète de l’impact de l’e-prescription actuelle
sur la qualité des prestations du MG.
La SSMG ne remet pas en question le principe de l’informatisation progressive des soins de santé.
Elle souligne cependant les « ratés » du système et du serveur Recip-e. Selon elle, le MG doit utiliser des «outils d’e-santé encore non aboutis sur lesquels il a peu de prise, ou ne tournant pas aussi rapidement que les démos officielles le laissent penser».